L'eau

  • La salmonelle, hépatite A, Giardia (rocheuses) dans l’eau, il faut faire bouillir l’eau.
  • L’eau est parfois si froide qu’on ne sait même pas si l’on est blessé.
  • Urines très jaune signifie que l'on est très déshydraté.
  • Quand on est déshydraté, il faut boire lentement pour éviter le risque de vomissements
  • Avoir des tablettes de purifications sur soi.
  • En montagne, le corps a besoin de plus d’eau qu’au niveau de la mer.
  • Boire l’eau des fluides d’une crotte d’éléphant fraîche .... Tu prends la crotte avec les mains et tu la presses au dessus de la bouche pour boire les « fluides » ... Les bons tuyaux...
  • Pour se désaltérer sur une île, boire le jus de noix de coco.
  • Technique pour monter en haut d’un cocotier...
  • Noix de coco est riche en potassium, il s’élimine avec la sueur.
  • S’hydrater permet de conserver la chaleur du corps.
  • Ne pas manger la neige car cela ferait baisser encore davantage la température. Faire fondre la neige la nuit par la chaleur de son corps.
  • On peut boire sans danger sa propre urine. L'urine est composée de 95% d’eau, elle est stérile tant qu’elle est fraîche, mais mieux vaut la boire vite car c’est un terrain très fertile pour les bactéries.
  • Au repos, on doit boire 2% de son poids par jour, soit 1.5 litre au minimum mais dans de telles conditions j’ai besoin de cette quantité toutes les heures.
  • L’eau a été filtrée dans la roche. L’eau se purifie naturellement, elle est filtrée en passant à travers la roche et le sable.
  • La sfeigne : La mousse filtre la plupart des impuretés et l’iode tue une grande partie des bactéries. Il suffit de presser la mousse et de boire.
  • L’eau, les bactéries se développent moins vite à basse température. Ici, dans un torrent.
  • Un des moyen de faire durer l’eau consiste à la conserver dans la bouche afin d’éviter que la bouche et la gorge ne s’assèche. Cela fait gagner quelques heures.
  • Un piège à rosée : un trou de 45 cm de profondeur que l’on tapisse de quelques feuilles de palmier puis des cailloux sur ces feuillages, ce sont ces cailloux qui capteront l’humidité. Les pierres refroidissent la nuit et lorsque le soleil se lève il provoque un contraste entre la chaleur à l’extérieur et la fraicheur des pierres, ce qui provoque la condensation. On ajoute enfin des feuilles dessus, l’infime humidité de l’air asséché ne s’évaporera donc pas et la nuit de précieuses gouttes de liquides se formeront sur les cailloux.
  • Du sable humide que je réunis dans un t-shirt. J’emballe le sable ou la terre dans le t-shirt et je le tors pour tenter d’extraire l’humidité à travers le t-shirt.
  • Lutter contre la tentation de mange la neige pour s’hydrater. Si on mange la neige à pleine main alors brûlures aux lèvres, ulcères à l’estomac, cloques dans la bouche et surtout la température du corps risque de considérablement chuter. Remplir la gourde de neige et la glisser entre les couches de tissus, en bougeant, la neige va fondre.
  • Le matin pour collecter la rosée dans les hautes herbes : je noue ma chemise à ma jambe et elle va s’imbiber d’eau. On peut récupérer un quart de litre en 2 heures.
  • Creuser un trou de sable et remplir avec de l’eau de mer, déposer une tasse, recouvrir le trou d’un sac plastique puis déposer un caillou sur le sac pour que l’eau induite par la condensation s’écoule dans la tasse.
  • Une déshydratation de 2% diminue les capacités de 20%.
  • Ne pas boire l’eau de mer, les reins ne supporteraient pas.
  • On peut survivre 3 semaines sans manger et 3 jours sans boire.
  • Ne pas manger de la neige, la neige vous brûlerait.
  • Il faut boire de petites gorgées d’eau.
  • Un morceau de charbon sur la paille naturelle pour filtrer l’eau (ça récupère les toxines et les produits chimiques) + un peu d’herbe pour filtrer les gros éléments (sable  et gravillons) + morceau de t shirt à l’extrémité.
  • La priorité absolue c’est l’eau. On peut survivre 3 semaine sans nourriture et 3 jours sans eau.
  • Nouer sa chemise autour de sa jambe pour absorber la rosée du matin dans les hautes herbes.
  • Les urines contiennent du sel et des toxines mais permet de vous réhydrater.
  • Pour faire bouillir de l’eau avec une bouteille en plastique. Faire tourner la bouteille remplie d’eau au dessus du feu. La mettre en mouvement empechera la bouteille de fondre.
  • Sans eau, il faut mieux manger peu et souvent.
  • Ne jamais boire l’eau salée, elle entraine une insuffisance rénale.
  • Si la roche est poreuse, lorsqu’il pleuvra, l’eau la traversera et elle ne sera pas retenue, voilà pourquoi il sera très difficile de récupérer de l’eau potable sur cette île.
  • Avec un lacet ou une corde je peux récupérer de l’eau qui goutte d’une roche pour remplir une bouteille.
  • En cas de pénurie d’eau potable, il faut manger les yeux du poisson, ils contiennent différents liquides. Manger cru.
  • Collecteur d’eau avec une feuille de bananier, la tige de la feuille dans le goulot de la gourde.
  • Moyen pour filtrer le sel d’eau de mer.
  • Faire bouillir l’eau de mer dans une tasse placée dans la longueur d’une bouteille en plastique. La vapeur se condense dans la bouteille et ruisselle  jusqu’au bouchon et s’échappe par un petit trou.
  • Le colon peut absorber des liquides ce qui évite le risque de vomir une eau pleine d’excréments et donc de se déshydrater. En dernier recours.
  • De la boue qui contient de l’eau : Je mets la boue dans un tissus et je le tourne sur lui même pour en extraire l’eau... j’aspire à travers le tissu.
  • Les salicornes sont des plantes que l’on trouve sur toutes les cotes des estuaires. Elles contiennent assez d’eau pour vous aider à vous hydrater. Il suffit de les mâcher.
  • Pour filtrer l’eau, on fait un trou en périphérie de l’espace dans lequel il y a l’eau douce. On creuse un peu. Les sédiments et le sable agissent comme un filtre fin, ils permettent de débarrasser l’eau de ses résidus et autres impuretés. Au début elle est un peu foncée, on rejette l’eau avec les mains et après la deuxième filtration elle apparaît déjà plus claire.
  • Les noix de coco vertes sont celles qui contiennent le plus de liquide.
  • Pour grimper sur le cocotier, poser les pieds le plus possible afin d’améliorer l’adhérence.
  • Pour ouvrir la noix de coco : Prendre le bas de la noix et attaquez la à petit coups (avec le couteau). Il faut découper une sortes de triangle dans les cales afin d’accéder au cœur de la noix de coco. Quand vous obtenez une forme de pyramide, couper le haut de la noix.
  • Une noix de coco assez grosse peut contenir au moins 1 litre d’eau, elle apporte également plus d’électrolytes qu’une boisson énergétique et plus de potassium qu’une banane.
  • Un bambou taillé en pointe planté, et dirigé vers le sol,  à la base d’un bananier fait office de robinet. On creuse un trou juste au dessus et on y dépose une grande feuille pour faire une cuvette qui recueillera l’eau.
  • Pour accéder à l’intérieur d’une noix de coco : Trouver un morceau de bois dur, taillez le bout en pointe et pour finir, tapez la noix de coco dessus. L’eau de noix de coco est si efficace que dans les hôpitaux de certains pays en voie de développement, elle est utilisée pour remplacer les perfusions de sérum physiologique. Mais l’eau de coco est très pauvre en matière grasses.
  • Technique de l’alambic solaire. Faire un trou le recouvrir d’un plastique, uriner dans le trou… pas claire l’explication.
  • Du sable humide (situé à l’ombre) dans un t shirt que je tourne afin d’extraire des gouttes d’eau.
  • Du sable humide dans une chaussette et on tord la chaussette pour extraire l’eau, on aspire sur la chaussette.
  • Le charbon est un très bon filtre.
  • L’eau douce flotte au dessus de l’eau de mer.
  • Laisser la gourde en contact avec de l’eau (ici stagnante) pendant 6 heures environ, les rayons uv vont purger entre 60 et 80 % des bactéries. Secouer aussi pour oxygéner l’eau. Elle ne sera jamais bonne à 100% mais c’est mieux que rien.